L’Ecole primaire publique (EPP) Ancien Koumassi, située dans le village d’Abia-Koumassi, entièrement réhabilitée, a été livrée le jeudi 18 septembre 2025 par la Société de patrimoine et de gestion (SPG) Akwaba, lors d’une cérémonie de remise officielle des clés.
Les travaux, réalisés pour un coût global estimé à près de 60 millions FCFA, ont porté sur la réfection complète de trois blocs de neuf classes, de la cantine, de l’infirmerie et des bureaux administratifs. Ils ont également concerné l’aménagement extérieur (remblais, bacs à fleurs, poubelles, bancs publics) et la fourniture de mobilier et d’équipements pour l’ensemble de l’établissement.
« Devant l’état de dégradation avancée de cet établissement, la SPG Akwaba ne pouvait rester insensible », a déclaré la directrice générale de l’entreprise, Fofana Sinohn Kouadio. Elle a précisé que cette action s’inscrit dans la démarche de Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE), en droite ligne avec son plan d’appui 2024-2025 à la communauté villageoise d’Abia-Koumassi.
Le directeur de l’EPP Ancien Koumassi, Michel Kouassi, a exprimé sa gratitude à l’entreprise et pris l’engagement de maintenir les infrastructures dans un bon état afin de garantir des résultats scolaires probants.
Au nom des élèves, N’Goran Emeraude Marie Bernard, en classe de CM2, s’est réjoui de l’amélioration de ses conditions d’apprentissage et promis de donner le meilleur pour réussir à ses examens.
La cérémonie s’est déroulée en présence du premier adjoint au chef du d’Abia-Koumassi, Assahoua Djiro Ismaël, de ses notables, du conseiller pédagogique représentant l’inspecteur de l’Enseignement préscolaire et primaire de Biétry, Ahité Bernard ainsi que des autorités éducatives.
La SPG Akwaba a déjà initié des actions communautaires, notamment un appui à la chefferie lors des fêtes villageoises, la réhabilitation d’une ancienne zone à ordures au profit de 12 femmes, ou encore des dons alimentaires aux veuves et orphelins.
D’autres projets sont prévus, parmi lesquels la construction de latrines publiques, des actions de formation pour les jeunes dans les métiers de l’hôtellerie, ainsi que des campagnes de sensibilisation sanitaire.
Source : AIP
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